LE KIVU EN DANGER : LA JUDAISATION DES TUTSI ! UNE NOUVELLE IDENTITE POUR STRATEGIE DE CONQUETE

Crée le 25-01-2013 11H00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le vendredi 25-01-2013 - 11H30 PAR : artv news

Depuis un certain temps, une nouvelle identification sociale est née chez les Tutsi du Rwanda, du Burundi et de l’Ouganda. La réclamation d’une l’identité juive, « les Tutsi-hebreux » ( Israéliens, peuple de Dieu, peuple saint, etc. ) fait certainement son bonhomme de chemin et de façon non hasardeuse. Elle coïnciderait avec les causes et enjeux des guerres qui bouleversent la région de Grands-lacs africains.
Au regard simpliste, cette idée renvoie à la méfiance. A l’observation minutieuse, elle suscite une série de questions fondamentales aux malheurs de l’Afrique centrale. A la lumière des révélations récentes du journal canadien ‘National Post’, sur les vrais déclencheurs du génocide rwandais, qui pourtant ont été couverts pendant plus de deux ans par l’Onu, la conspiration internationale de Kagame dans la guerre en Afrique centrale ne fait plus de doute. Pour les présidents rwandais, burundais et ougandais, tous les moyens sont bons pour conquérir le cœur de l’Afrique. Le processus de la judaïsation des Tutsi par rapport aux guerres qui secouent la région des grands-lacs africains en est un.
Presque deux ans après le renversement de la dictature de Mobutu au Congo, quatre ans après l’assassinat de Melchior Ndadaye au Burundi, quatre ans après l’assassinat du président Juvenal Habyarimana, comme au hasard, « Jérusalem Post » dans son édition du 23 novembre 1998 déclarait officiellement pour la première fois ce qui circulait en rumeur depuis un certain temps :
« Nous lançons un appel à Israël et à la Communauté internationale pour condamner et prendre des actions contre toute violence anti-israélite perpétrée par les non-israéliens à travers l’Afrique, y compris plus de 500 000 Tutsi-Hébreux Israéliens au Rwanda » .
Cette révélation allait donner un autre aspect certainement moins apparent mais très important à la crise qui secoue l’Afrique centrale et en particulier le Congo.
Mardi 11 mai 1999, le journal canadien « National Post » publiait à la page 17, un grand article sur les Lemba, un autre peuple noir, qui allègue certifier après analyses que selon les gênes sanguins qui déterminent l’hérédité, les Lemba seraient des juifs noirs descendants de Aron. L’article cite David B. Goldstein, un juif, généticien à Oxford (Angleterre) : « Le problème est qu’il y a eu des mixages avec les populations hôtes, ce qui a obscurci leur ascendance ». Cette façon de définir les termes « mixage » et « population hôte » a une connotation raciste. Car pour lui, certains ancêtres sont des vrais ancêtres et d’autres ne le sont pas.
UNE CONFÉRENCE DANS LA CONFIDENTIALITÉ
Dimanche 10 octobre 1999 une réunion est annoncée à Bruxelles dans la plus grande discrétion : c’est la conférence de Havila. Le lieu aménagé pour la conférence est le prestigieux Centre de Séminaires de l’Hôtel Mercure situé en bordure du cadre exquis du Parc de Lauzelle, dans le Brabant Wallon belge . Pour bien et rapidement situer le lecteur, mentionnons que « Havila » est le mot attribué à la région des Grands-lacs par ce mouvement de la ‘ »judaïsation des tutsis.’ La conférence inaugurale des activités académiques de l’Institut de Havila s’annonce par la « judaïsation de tous les Tutsi » :
Sous le signe des armoiries hébraïques de Havila : l’Etoile de David, qui serait caractéristique des Etats modernes d’Israël et du Burundi ; les Tambours de Salomon dont les Souverains shebatiques de Havila seraient les gardiens, autour des Sources les plus méridionales du Fleuve sacré des Pharaons (le Pishon biblique ou Nil) ; un fragment des Hassarad Hadivarim (les Dix Commandements de Moïse) qui seraient la marque de l’Alliance mosaïque et la figuration de la « mémoire perdue » des peuples hébraïques de Havila.
L’INSTITUT DE HAVILA
Un « Institut des Grands-Lacs » existe depuis un certain temps et regroupe dans la plus grande discrétion les grands intellectuels Tutsis à travers le monde. Dans les milieux Tutsis, il s’appelle « Institut de Havila » et « rassemble pas moins de sept centres de Recherche d’Intervention et de Rayonnement, implantés sur presque tous les continents ». Ces centres auraient l’objectif commun de restituer et de faire revivre la « mémoire perdue » des douze codes hébraïques qui auraient caractérisé, depuis des millénaires, la civilisation des peuples kushitiques de l’Abyssinie Méridionale (Rwanda, Burundi, Buha, Ankole, Buhavu, etc.) … et « gardiens des Mines du Roi Salomon. » Chacun de sept centres de l’institut de « Havila » a sa mission. Selon l’importance de sept centres de l’institut de Havila, mentionnons :
1) Le Centre « GEDEON » : « Observatoire de la situation sécuritaire et stratégique des peuples shebatiques de Havila… Il fait régulièrement rapport à l’Institut afin que les membres de Havila s’habituent à avoir les pieds sur terre… d’avoir l’œil rivé sur les contradictions de l’histoire présente, faites de crises transitionnelles, d’affrontements armés… ».
2) Le Centre « ROI SALOMON », s’occupe de l’Analyse économique et financière dans Havila. Comme par hasard, devons-nous rappeler les expressions véhiculées par les promoteurs de cette conquête en Afrique centrale : « Mines du roi Salomon » (le Kivu), les « Pipelines du Roi Salomon » (projet en cours avec le gouvernement Kabila pour offrir l’eau du Fleuve Congo à Israël). En essence, comme pour le cas du nom « Mulenge » dans la guerre actuelle qui a commencé au Kivu, la mission que se donne « le Centre Roi Salomon » de l’Institut Havila, soulève la curiosité de savoir ce qui restera aux Congolais en tant que peuple.
3) Centre « HAKIM » rassemble des spécialistes en Médecine, en sciences naturelles, en Ecologie, chargés d’étudier les conditions ecosystémiques dans lesquelles ont émergé les civilisations anciennes de Havila, le mode de vie et d’alimentation des peuples de Havila, qui en ont fait dans le temps des peuples de centenaires, comme les Caucasiens.
4) Le Centre « MULENGE » a la mission de maîtriser ce qu’on appelle les Nouvelles Technologies de Communication ; il doit rassembler la documentation, les pièces d’archives, relatives à Havila, mais aussi publier, dans les Annales de Havila des dossiers documentaires sur toute question jugée cruciale par la direction de l’Institut. Le Centre d’ »ISHANGO », qui appuie MULENGE, s’occupe notamment des questions logistiques ; il est chargé entre autres de collecter des pièces de Musée caractéristiques des peuples anciens de Havila, d’organiser des manifestations culturelles et folkloriques spécifiques aux civilisations de Havila, de faire fonctionner la « Fabrique d’Ishango » au sein de laquelle des artisans spécialisés reconstituent l’art et l’artisanat salomonique de Havila ;
5) Le Centre « TECHOUVHAH » s’occupe de la connexion mémorielle des peuples hébatiques du Nil Blanc : Havila (Grands-Lacs) et du Nil Bleu : Guihon (Ethiopie, Somalie, Erythrée, Ogaden, Ghana, Nigeria), etc.
6) Le Centre « SACEGA » : Souvenir de l’institution du bâton de justice et de gouvernement dans Havila. En Kirundi ce bâton « Intahe » rappelle « la déconnection physique et mémorielle des peuples de Havila par rapport à la mémoire de l’antique Israël, dont ils gardent néanmoins les codes salomoniques et mosaïques, coulés dans des traditions multimillenaires, jusqu’ici épargnées de toute tentative de décodage systématique ».
7) Le Centre « BILKIS-REINE DE SABA » qui avait organisé cette conférence, est chargé de l’Analyse et de l’Intervention politique et diplomatique pour les questions relatives au destin des peuples de Havila ;
Pour les Tutsis, la prophétie a ses caractéristiques : pas le retour historique vers Israël, mais le retour vers l’Israël prophétique… que figure la « Techouvha », …l’espérance de la réunification des « Tribus perdues d’Israël » qui est l’espérance mystique centrale du peuple d’Israël, dispersé aux quatre coins de la terre, depuis la destruction du premier Temple et la déportation à Babylone (-586) qui marque la dispersion dans les Nations.
Les sources de Grands-Lacs Confidentiel indiquent que les grands intellectuels Tutsis ont célébré le « troisième millénaire », par « la réunification physique des « tribus perdues de Havila », de Guihon et du Fouta-Djalon ». Un « gigantesque festival » était tenu pendant 10 jours (du dimanche 24 octobre au mardi 2 novembre 1999) à AGULERI dans l’Igboland (au Nigeria). Période conforme à la fête juive de la sortie de l’esclavage d’Egypte.
LES ORGANISATEURS
Retenons quelques noms : l’ »African Hebrew Organisation », la « King Solomon Sephardic Fédération (KSSF) » et la diaspora juive rassemblée dans le « Groupe industriel RIVKIN TECHNOLOGY ».
LA BIBLE, LES MYTHES ET LES FAUSSES PROPHÉTIES
Vendredi le 18 septembre 1998 dans un article « L’or du Kivu, engin caché du conflit en RDC », Agence France Presse écrivait : « Une légende vivace dans l’Est congolais situe les mines d’or du roi Salomon dans cette zone » (Kivu), territoire qui alors était et qui reste encore sous le contrôle jaloux de Paul Kagame, le président rwandais de facto. Aujourd’hui comme alors, le pillage de l’or du Kivu battait son plein.
Une autre version veut que ceux qui appuient les Tutsis dans la guerre de conquête au Congo expliquent l’invasion actuelle au Congo par la bible. A la conférence de Havila, quelques versets bibliques sont lus : le livre d’Exode 4, 17 ; 17, 5 ; 3,10 ; 3, 16-20 et 17, 5-7.
Selon eux, la guerre actuelle de conquête tutsie dans la région de Grands-Lacs, ‘HAVILA’, et surtout au Congo est « un fait prophétique, une volonté de Dieu Israël ». Et pour preuve disent-ils le livre biblique d’Essaie, chapitre 18, verset 1-2 est leur appui. Ici on parle des « peuples de grande taille » (les Tutsis-Anaks) qui hériteraient le pays situé entre deux fleuves au sud de l’Ethiopie (le Congo). Cette région serait donc l’actuelle région des grands-lacs africains ou simplement en termes « Tutsis-Hébreux » : « la terre sacrée de Havila », « la mémoire perdue de douze codes hébraïques…des peuples kushites de l’Abyssinie Méridionale (Rwanda, Burundi, Buha, Ankole, Buhavu, etc.) »

UN NOM NOUVEAU, L’EMPIRE HIMA-TUTSI
Selon un document confidentiel parvenu à Grands-Lacs Confidentiel , les ambitions d’un « empire Hima-Tutsi » sont plus réelles que nos lecteurs ne peuvent s’imaginer. La région de grands-lacs a une nouvelle appellation : « HAVILA », « la terre sacrée de Havila » ou « la mémoire perdue de douze codes hébraïques…des peuples kushites de l’Abyssinie Méridionale (Rwanda, Burundi, Buha, Ankole, Buhavu, etc.) ». Géographiquement, partant de cette dernière citation, la terre sacrée de Havila se dessine comme suit;
Rwanda : l’actuel Rwanda, pays de mille collines avec capitale Kigali,Burundi : capitale Bujumbura,Buha : du nom Baha ou Muha (au singulier) ; peuple de la Tanzanie occidentale. Par extension, Buha désigne la Tanzanie.

Ankole : Région de l’Ouganda occidental habitée majoritairement par les Banyankole, tribu à laquelle le Président Museveni s’identifie par truchement.
Buhavu : Région habitée par les Bahavu c’est-à-dire l’actuelle région du Kivu de la République démocratique du Congo. Le nom du chef-lieu du Sud-Kivu, « Bukavu » serait une déformation du mot Buhavu.
L’Empire des « Tutsis-Hébreux », « la terre sacrée de Havila » (la région des grands-Lacs africains) englobera donc les pays suivants : Rwanda, Burundi, Buha (Tanzanie), Ankole (Uganda), Buhavu (Kivu, province orientale du Congo), etc
.
LES TENORS DE LA CONFERENCE
Que le lecteur se démystifie de la légèreté de cet e »mpire Hima-Tutsi. » Pour fait, les maîtres à penser de cet empire sont des personnes hautement instruites qui ont tissé des relations avec certains groupes juifs et plusieurs partenaires occidentaux, des industries d’armement, des multinationales qui , selon eux, leur permettraient de réaliser leur projet au prix du sang Congolais et des richesses abondantes dont regorgent ce pays.

A titre d’exemple, nos sources indiquent que depuis la prise de Kindu en RDCongo, en octobre 1999, Paul Kagame a exporté au Rwanda « 950 tonnes de cassitérite traitée en laboratoires, 280 tonnes de colombo-tantalite (pillées à la SOMINKI), 11 000 tonnes de maïs, 4500 fûts d’huile de palme ; de quoi se nourrir suffisamment, consolider les alliances et acheter des nouvelles armes pour massacrer les Congolais ».

Parmi les grands ténors de l’Institut de Havila citons entre autres :

1. Jean BWEJERI :  » Professeur, universitaire de haut vol, connu dans le monde de l’enseignement et de la recherche depuis une quinzaine d’années. Formé à l’Ecole de la Nouvelle Linguistique qui a revêtu les formes de la Pragmatique linguistique, de l’Analyse du Discours et de la Nouvelle Communication, il consacre actuellement le maximum de son temps et de ses compétences à la recherche postuniversitaire orientée vers la transdisciplinarité en sciences humaines, ratissant d’une traite les champs de la Critique littéraire et textuelle, de la Nouvelle Linguistique, de l’Analyse du Discours, de l’Histoire ancienne et moderne, de l’Anthropologie africaine, de l’Analyse sociologique et politique, de l’épistémologie contemporaine des sciences sociales, des études bibliques, de la philosophie générale et africaine « .

2. Maître Matthias NIYONZIMA :  » Avocat au Barreau de Bruxelles. Docteur en Droit de la KUL et Lauréat de la prestigieuse Académie de Droit International de La Haye, ce brillant avocat enseigne actuellement à l’Université de Nantes. Il est spécialiste des questions relatives au Droit Africain Comparé, au Droit des Affaires et au Droit du Commerce, International « .

3. Capitaine CIRAMUNDA Richard-Delvaux : Coordonnateur du Centre GEDEON pour la Stratégie et la Défense dans Havila.  » Ce jeune officier est spécialiste en Criminologie et en Etudes de stratégie militaire. Il a obtenu ses diplômes universitaires et militaires à l’Ecole Royale Militaire de Bruxelles et a choisi de mettre ses capacités d’analyse et d’engagement à la disposition de l’Institut de Havila, qui a urgemment besoin de comprendre et de faire comprendre au monde International ce qui se passe sur le terrain, en termes de stratégies géopolitiques et d’opérations militaires « .

4. M. Gaspard KIROMBO : Coordonnateur du Centre MULENGE.  » Lauréat de la Faculté des Sciences Politiques et Sociales de l’UCL, et diplômé des Sciences Religieuses de la même Université, M. KIROMBO avait accepté d’être Modérateur de cette Conférence inaugurale « .
5. Le même document confidentiel, mentionne aussi ‘la diaspora juive rassemblée dans le Groupe industriel RIVKIN TECHNOLOGY ‘.
D’autres sources nous indiquent que parmi les conseillers stratégiques pour l’implantation de l’empire Havila, on retrouve des personnalités comme Kimenyi Alexandre (Professeur, américain d’origine tutsi-rwandaise), Déogratias Bugera (ancien réfugié rwandais au Congo passé pour un munyamulenge), Bizimana Karahamuheto (cousin de Kagame, originaire du Rwanda, un autre munyamulenge), Jérôme Gapangwa Nteziryayo (Evêque d’Uvira, Docteur en Histoire Ecclésiastique) et quelques hommes d’affaires tutsis.
LES FAITS DE LA GUERRE
Le prestigieux journal tanzanien « Daily Mail », dans son édition du 14 janvier 1999 sous le titre de « George Bush, Museveni own shares in Congo mines » publiait un article dans lequel il pointait du doigt un ancien général de l’armée israélienne David Agmon comme l’un des hommes qui pillent les minerais congolais dans le territoire congolais occupé par le Rwanda.
Les sources fiables ont indiqué à Grands-Lacs Confidentiel que les armes qui ruinent le Congo viennent de la Roumanie, des Etats-Unis et d’Israël. Elles sont envoyées au Rwanda et en Ouganda sous prétexte « de coopération bilatérale militaire » avant d’être acheminées au Congo par le Rwanda ou l’Ouganda. Les mêmes sources indiquent que certains dignitaires du gouvernement israélien fournissent des armes à Museveni et Kagame.
Panafrican News Agency (PANA) dans un article daté du 27 janvier 2000 venait encore renforcer ce qui était alors repris comme légende par AFP. Annonçant un projet consistant à drainer l’eau du fleuve Congo pour l’offrir gratuitement aux Israéliens, PANA révèle que le projet prendrait le même nom juif qui véhiculait les mythes des minerais au Kivu. Le projet de l’eau du fleuve Congo s’appellerai : « les Pipelines de Salomon ».
Ce projet ambitieux mettant ensemble certains congolais de la diaspora et des hommes d’affaires américains est une affaire qui ne convainc que les initiateurs. A la lumière des origines de la guerre actuelle au Congo et les conséquences sur sa population, est-il inapproprié que quelques ministres du gouvernement en guerre, décident sans consulter la population, d’une question aussi capitale et importante que l’eau du fleuve Congo, question qui implique toute la vie d’une nation pendant plusieurs générations à venir ?
En toute bonne foi, le Congo n’a pas vraiment de spécialistes environnementaux et hydrologues qui peuvent démontrer hors de tout doute que le projet « Salomon Pipeline » n’aura pas d’impact sur le Congo dans les générations futures. Par contre, ceux qui en profiteront n’auront pas de peine à faire avaler aux Congolais qu’il n’y aura aucun danger ou impact environnemental. Dans les pays organisés, une question comme celle de « Salomon Pipeline » aurait nécessité un référendum pour recueillir l’opinion populaire.
Au bureau de Westrac (la compagnie du projet « Salomon Pipeline »), on se contente d’expliquer cela avec une extrême légère simplicisante : « C’est l’eau qui va ramener la paix » au Congo (car Salomon signifierait paix). C’est un projet qui va transformer le Congo, moins que ne l’ont fait ses fils et filles pendant 40 ans passés ; avec la construction des « églises, mosquées, hôpitaux, stationnements, parcs, logement, centres commerciaux et des écoles’.
CONNECTION AUX MÉDIAS BELGES
Au lendemain de la conférence de Havila, les connections Tutsies belges font diffuser par « coïncidence historique » à la chaîne culturelle francophone « Club RTL » le célèbre long métrage d’Andrew COMPTON et Bennett MARTON consacré aux Batutsi de Havila, sous le titre évocateur : « Les Mines du Roi Salomon ». Avec Havila tout n’est pas fini, quelque chose de nouveau commence, un réseau qui tisse des connivences avec les Américains, les Juifs, les Belges etc. pour disloquer le Congo et mieux dominer la région de grands-lacs africains. Le président Kabila avait tout compris quand il avertissait d’avance les Congolais que la guerre va « trop durer ».
Erik kennes, Afika Museum, 2000 

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